Veröffentlicht am 18. Januar 2017. Von Michel de Rougemont
Au cours du développement des temps modernes, en particulier avec l’industrialisation à grande échelle et les échanges globaux, l’impact que l’activité humaine pouvait avoir sur l’environnement s’est manifesté, parfois de manière préoccupante. Une désillusion vis-à-vis de la science et des techniques s’est alors répandue, comme si la société devait fatalement être coupable d’irrémédiables déséquilibres écologiques, toute idée de progrès étant ainsi mise en cause. Pourtant il faut se rendre compte que jamais dans son histoire l’humanité n’a été si prospère.
Après une courte revue de l’avènement de l’écologie moderne, les défis qui se présentent aux sociétés sont exposés et discutés, qu’il s’agisse de la préservation de la nature ou du traitement des déchets accompagnant toute activité humaine. La notion de risque et de sa gestion est au centre de cette discussion.
Les conditions climatiques très particulières qui règnent sur notre planète et nous permettent d’y vivre, sont aussi examinées de manière critique, surtout afin de bien distinguer ce que sont observations et faits avérés, causes non corrélées, mal connues ou inconnues, et hypothèses ou spéculations conduisant à des scénarios alarmistes.
Que ce soit dans les pays riches ou pauvres il est aussi montré que l’état de développement du bien-être n’a jamais été aussi avancé et que des priorités simples et claires peuvent et doivent être poursuivies. La biologie, l’agriculture et la fourniture d’énergie sont l’objet d’analyses particulières.
Une courte digression économique est aussi faite afin d’en rappeler les principes fondamentaux, en particulier la fragilité de la notion de valeur. Il en est fait de même pour la politique, entendue dans son sens large, c’est-à-dire des formes possibles de vie en société, et de l’état d’un Monde où ne cessent de s’affronter des idéalismes incompatibles, sources d’incessantes tentations totalitaires, en particulier un écologisme militant s’imposant jusque dans la plupart des gouvernements et dans toutes les instances internationales.
Les causes et motivations de ces activismes qui agrègent toutes les critiques de l’activité humaine sont multiples et se renforcent mutuellement. On y trouve des craintes primitives, des questionnements eschatologiques, des idéologies de domination, ainsi que de simples mais puissants désirs de saisie du pouvoir, culminant maintenant par l’appel à une gouvernance mondiale bien détachée des peuples.
L’abandon de la rationalité permet à ces mouvements de prospérer dans une société postmoderne qui depuis quelques décennies laisse tout mettre en doute pour se mettre entre les mains d’anciens et nouveaux prêtres lui inculquant de nouveaux dogmes qu’on ne saurait réfuter qu’au risque de se faire bâillonner et bannir comme hérétique.
Face à cette déferlante il est grand temps de réarmer notre raison.
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