Die CO2-Lüge ist das eine und die Tatsache, dass in den rund 60 Jahren seit der Unabhängigkeit kaum je eine afrikanische Regierung die Interessen ihres Volkes vertreten hat, das andere. Reply
Prima Beitrag, Michel, aber den alten Pigou muss ich doch etwas in Schutz nehmen. Dieser Ablasshandel oder wie immer man diese Absurditäten auch nennen mag, hat m.E. mit seinem Vorschlag einer Internalisierungssteuer wenig bis nichts zu tun. Als Pigou-Steuer könnte man zwar die Herkunft der Mittel bezeichnen – das Absurde liegt aber hier in der Verwendung der Mittel. Reply
C’est toujours amusant de voir réagir la corporation des économistes de manière épidermique à toute critique de la proposition de Pigou d’internaliser les coûts d’externalités. La taxe carbone ou son produit dérivé appelé crédit carbone, carbon allowance ou certificat carbone, est pourtant exactement destinée à cela. D’une part, beaucoup d’externalités sont d’ores et déjà intégrées dans les systèmes fiscaux (recettes et dépenses étatiques, régulation environnementale, etc.). D’autre part, et bien plus important, personne n’est en mesure d’estimer ni la quantité ni la valeur de ce que l’on prétend taxer. Ce manque de quantification étonne de la part d’un métier qui a comme principe de savoir compter. Mais il faut reconnaître que la tâche est impossible (p.ex., estimer le coût social du carbone à l’horizon 2024 ou 2100). On attribue alors une valeur arbitraire, soit par le biais du prix (taxe par tonne, comme en Suisse) ou par la manipulation d’un soi-disant marché où l’offre est arbitrairement limitée par le nombre de certificats émis (comme dans l’Union européenne) alors que le prix s’établirait de soi-même par ce marché artificiel et truqué. C’est ce système absurde qui permet des escroqueries de l’acabit de ce qui est discuté dans l’article de la NZZ et dans ce billet de blog. On pourrait même dire que ce système est en soi une escroquerie. L’ignorant en économie que je suis ne comprendrait pas cette merveilleuse thèse économique qui pourtant n’a jamais été prouvée par des faits sonnants et trébuchants. Et comme j’évite d’y consacrer des centaines de pages on me rétorquera que ce n’est pas tout à fait comme je viens de l’écrire, autre manière de discréditer la critique. Reply
Die richtige Steuer – wenn sie sich denn bestimmen liesse -, also die Steuer, die die relevanten Kosten internalisiert, müsste laufend verändert werden. Weil sich die Umstände ebenfalls laufend verändern. Aber es gibt andere Möglichkeiten: Wir wollen ja eine bestimmte Menge CO2 erreichen. So erhöht man eben die Steuer, bis diese Menge erreicht wird. Es gibt andere Probleme. Aber meine Kritik an Michel zielte gar nicht auf eine Pigou-Verteidigung. Das Problem, das Michel schildert, die Absurdität, hat mit dieser Steuer wenig zu tun. Wie ich übrigens schon sagte. Reply