Wie Recht der Herr Dr. Vogel doch hat. In meinen Vorträgen stelle ich unter Andern, immer die Frage, wer hat eine PV Anlage auf dem Dach? Viele Hände gehen hoch. Auf die nachfolgende Frage, ob Sie aus Ihrer Anlage in einem Stromausfall ihres Elektrizitätswerkes und Energielieferanten, ihre PV-Energie, sofern die Sonne scheint, nutzen können? Nur noch Fragezeichen oder man ist der Meinung, ja ich kann. 95% dieser Investitionen sind während einer Strommangellage unbrauchbar, weil der falsche Wechselrichter verwendet wird, keine Batterien für die Tagespeicherung vorhanden sind und die Netzfreischalung nicht installiert ist! Einfache Aufklärung im Kleinen tut not! Das wir eine Importstrategie haben aber kein umliegendes Land, eine Exportstrategie hat, sagt schon der ausgezeichnete Vortrag von Samuel Leupold. Oder einfacher ausgedrückt, aus 3 Blinden kann man auch mit einem Vertag keinen Sehenden machen. Reply
Herr Vogel schreibt: “Ein grosser Teil der Bevölkerung glaubt diesen Schmarren …” Leider finde ich diese Aussage zu sehr beschönigend, aufgrund vieler Gespräche bin ich der Meinung “Der grösste Teil der Bevölkerung …” Ich habe sogar erlebt, dass sog. Fachleute den 1. Hauptsatz der Thermodynamik nicht verstehen, auch der Begriff “Wirkungsgrad” wird nicht richtig verstanden. Mir gefallen die Berichte von Martin Schlumpf und Eduard Kiener. Es wäre gut, diese auf das Wesentliche reduzierte Berichte (sodass sie von allen irgendwie verstanden werden) regelmässig in der Tagespresse zu publizieren. Die Reichweite von Nebelspalter , NZZ und CCN reicht offensichtlich nicht. Vielleicht sollte CCN versuchen, einen Kommunikations-spezialisten ins Boot zu holen, der die Fachberichte auf “volksverständlich” übersetzt. Reply
Hanspeter Vogel listet eine ganze Reihe von Abklärungen auf, die unbedingt gemacht werden müssten – ja, schon lange hätten gemacht werden sollen. Das CCN hätte in der Tat Spezialisten, um dabei mitzuwirken. Allein, uns fehlen die Ressourcen. Darum ärgere ich mich ja in diesem Blog zuhanden der Leserinnen und Leser immer grün und blau über die sinn- und nutzlose “esoterische Forschung”, die im Auftrag des BFE für Millionen von Franken an möglichst viele vergeben wird, um die Reihe der Kritiker klein zu halten. Das hat BR Leuthard eingefädelt, es wurde von BR Sommaruga forgesetzt und sollte jetzt von BR Rösti unverzüglich gestoppt werden. So würden viele Mittel frei um die Vogel’schen Wissenlücken zu schliessen. Von oben, vom Bund. Warum aber die Strombranche selber keine solchen Abklärungen vornimmt – von unten -, ist zu hinterfragen (politökonomische Gründe, vermutlich, keiner getraut sich, auf die Pauke zu hauen) und messerscharf zu verurteilen. Jetzt stehen wir vor Mangellagen und sehen, dass wir die Dekarbonisierung mit Netto Null per Mitte Jahrhundert mit Sicherheit vergessen können. Reply
Herr Saurer und alle anderen hier, setzen wir doch einen Brief an Herrn Rösti auf, wo genau das thematisiert wird, was Herr Vogel meint. Ich halte Albert Rösti für zugänglich genug, so einen Brief nicht nur anzunehmen sondern auch zu bedenken. Reply
Ich auch. Wir müssen das noch überdenken, denn der Neobundesrat wird sicher im Moment eingedeckt mit guten Tipps. Reply
Markus O. Häring hat uns dazu aus Australien einen längeren Kommentar zugeschickt, den wir am Schluss des Textes von Hanspeter Vogel sowie hier verlinken wollen: Jede Zeit hat ihre Herausforderungen Reply
Même s’il a bien raison, Hanspeter Vogel a tort. Les estimations nécessaires dont il parle ont fait l’objet de plusieurs publications de CCN dont la dernière – en français, faute de mieux car mieux serait pire – n’a été lue que par de rares compères. Des articles de blog, simples et complexes, ont été publiés à l’envi. Notre manifeste de 2018 n’a jamais été contredit. Qu’elle soit déclinée dans sa complexité ou de manière simple, la démonstration est implacable et c’est pour ça qu’elle est inaudible de la part des idiots de service qui font partie d’un secteur qui n’a jamais été en difficulté puisque protégé comme un cartel de fait. Du Conseil fédéral au conseil d’administration de la plus petite entreprise électrique en Suisse : qui met vraiment sa peau en danger dans ce jeu-là ? suisseéole, swisssolar, proclim, scnat, les écoles polytechniques et les universités, les épigones soigneusement sélectionnés du DETEC, les services industriels ? surtout pas car la corruption est totale dans ces milieux, consanguins et dispensateurs des deniers publics. Pire, ils sont devenus techniquement si incompétents qu’ils sont inaptes à l’introspection ou au débat. Ces idiots de service ne forment pas de simples lobbies, ils établissent une hégémonie sur un récit racontant un retour à la virginité de la Nature par le biais de “renouvelables” qui ne le sont pas. Aidé par le terrorisme d’une apocalypse climatiste et écologiste, c’est là un populisme abrutissant qui, hélas, marche à merveille. Le CCN a pour credo de se mêler à des discussions dans lesquelles tant les questions techniques qu’économiques doivent être analysées de manière constructive et sans a priori (p.ex., le nucléaire n’est pas un a priori pour CCN mais un choix logique face à de fausses alternatives). Il faut se rendre compte que cela est détestable pour ceux qui font l’objet de telles critiques et dont la culture n’est pas ouverte à la controverse. C’est pour cela que le CCN reste désinvité des colonnes des médias de grand chemin et des plateaux radiotélévisés étatiques. Nos explications ne sont pas bienvenues car elles dérangent avec justesse. On peut se soumettre, fuir ou guerroyer. Le troisième de ces choix est celui de CCN, bien que cela ne soit faisable qu’avec des moyens infiniment plus modestes que ceux de l’hégémonique « camp du bien ». Ce commentaire peut être traduit à l’aide de deepl.com, ce qui ne sera pas parfait mais compréhensible. Reply
Vous avez raison en tous points. Je serais le dernier à le contester. Toujours est-il que la plupart de la population croit aux légendes colportées par l’OFE et toutes sortes de politiciens (en majorité de gauche). Peut-être parce que la majorité de la population n’a ni le temps et ni le savoir de se pencher sérieusement sur le problème de l’approvisionnement en énergie. C’est pourquoi je préconise de faire un pas de plus et de montrer de manière concrète SUR LE TERRAIN les répercussions d’une politique se basant exclusivement sur les énergies faussement appelées renouvelables. Me basant sur tous les exposés publiés dans ce blog, je pars de l’idée que le résultat d’un tel exercice montrerait à tout un chacun les répercussions probablement catastrophiques qu’aurait la poursuite jusqu’au bout de la politique énergétique actuelle sur la nature et sur l’environnement. Ceci tout en démontrant l’impossibilité de financer un tel paquet de mesures ou de le réaliser dans les délais demandés. Ma proposition n’a donc pas pour but de convertir les “idiots de service” que vous mentionnez, mais le citoyen lambda qui croit en toute honnêteté de faire une bonne chose en couvrant son toit peu ensoleillé par des panneaux solaires. Et pour cela, il faut du concret: la place de pique-nique préférée englouti par l’eau d’un barrage, la forêt de panneaux solaires au-dessus de la propre résidence secondaire…….. Et j’espère évidemment que nos journalistes seraient plus enclins de diffuser des histoires de ce genre que de sérieux calculs abstraits, aussi justes soient-ils. Reply
Nous sommes bien d’accord ! Cependant ce qui nous manque, c’est la capacité d’action. Ce sont de vieux croûtons comme nous qui prétendons à la sagesse alors que les “actifs” ne s’activent pas, même les plus conscients, terrorisés qu’ils sont par les répercussions sur leur carrière de prendre position en opposition à la “pensée hégémonique”. Oui, bien sûr, la réaction concrète viendra par l’exemple mais, pour qu’il soit ressenti comme tel, celui-ci doit se manifester ce qui sera très coûteux et ne viendra que trop tard. Les élites, si défaillantes qu’elles soient, ont le devoir de changer de stratégie sans attendre. Ce n’est pas le bon peuple crédule qui les anime à changer la stratégie. Reply
https://www.youtube.com/watch?v=0mTOr9JXbhQ Wenn sich noch mehr Politpromis wie Otto Schily äussern… es tut sich was in Deutschland. Die Situation wird unhaltbar. Reply
Dem ausgezeichneten Kommentar von Michel de Rougemont ist eigentlich nichts mehr anzufügen, als diesen mit ein paar konkreten Beispielen zu untermauern: 1.) Am 17. Jan. 23 der NZZ- Redaktion eine Replik zum Gespräch mit Prof. Gunzinger zugestellt. Meine Replik fokussierte ausschliesslich auf ein paar wenige der fundamentalen Falschaussagen Gunzingers. Bisher nichts gehört von der NZZ, werde dort jedoch nachhaken. 2.) Am 20. Jan. 23 SECO als Herausgeberin der “Die Volkswirtschaft” angeschrieben. Ich verfasste ebenfalls eine Replik zu deren Artikel “Reicht der Strom für die Transformation”, verfasst von zwei BfE Mitarbeitern und einem emeritierten Prof. der ETH Zürich. Selbstverständlich war gemäss diesem Artikel bezüglich Umsetzung alles im grünen Bereich. Ausser einem Anruf von einem SECO-Mitarbeiter (am 23. Jan), welcher mir eine Weiterverfolgung und weiteren Dialog versprochen hat. Bisher weiter nichts gehört, auch da werde ich nachhaken. 3.) Am 11. Feb. 23 den Chefredaktor der Schaffhauser Nachrichten angeschrieben. Ebenfalls eine Replik zu einem Artikel “Windkraft ist Teil der Lösung” wo u. a. auch beschrieben wurde, dass Windkraft der ideale Ansatz ist, um die Versorgung auch des Individualverkehrs sicherzustellen. Bisher ebenfalls nichts gehört. Dies drei aktuelle Beispiele zu Michel de Rougemonts diesbezüglichen Feststellungen. Die Liste lässt sich auf Jahre zurück verlängern. Zum Beispiel 3 noch folgendes. Ich habe vorgerechnet, dass wenn man den PW- Verkehr gemäss Stand Ende 2021 elektrifizieren würde, rund 10’600 Turbinen à 3 MW Nennleistung installiert werden müssten, welche etwa 14’600 km2 Fläche beanspruchen würden (ca. 35% der Fläche der Schweiz). Dies unter der Annahme, die Turbinen stehen im flachen Land. Herr Vogel, dazu braucht es keine Detail-Untersuchungen wo in der CH die besten Standorte wären, dies sind Grössenordnungen, welche in der CH schlicht nicht umsetzbar sind! Zudem Herr Vogel, haben wir auch bereits mehrfach darauf hingewiesen, dass der Ersatz der bestehenden Kernkraftwerke durch PV und dazu noch Elektrifizierung des Individualverkehrs, zusätzliche 13 bis 14 saisonale Speicher der Kapazität von Grand Dixance braucht (Kapazität = Stauvolumen*Höhendifferenz). Da müssten wir vom Reaktivieren von Projekten wie Greina, Ebene von Gletsch, Urserental, Val Curciusa, etc. reden und es würde noch immer nicht reichen! NB: Bestehende Stauanlagen wären nur in wenigen Ausnahmefällen zu solchen Zwecken mittels Damm- Erhöhung ausbaubar, Hongrin wäre möglicherweise einer davon. Jedoch, auch so reichen die Kapazitäten nie. Kommt noch dazu, dass der Zug um all dies bis 2050 zu realisieren längst abgefahren ist. Reply
Merci für den Kommentar. Natürlich haben Sie recht mit ihrer Argumentation. Ich habe auch nie das Gegenteil behauptet. Mir scheint die gegenwärige Situation gut durch das afrikanische Sprichwort: “Même quand on a raison en tous points, on ne peut pas avoir raison contre tout le monde” charakterisierbar. Und ich möchte eben “tout le monde”, d.h. die Mehrheit der Bevölkerung ins Boot holen, damit der zur Zeit vor sich gehende energiepolitische Irrsinn endlich gestoppt werden kann. Diese Mehrheit glaubt offensichtlich an die Richtigkeit der offiziellen Energiepolitik: man muss nur genügend Solarpanels – vorwiegend auf nebelschwangeren Hausdächern – montieren und alle Probleme werden gelöst sein. Und wenn jemand etwas fest glaubt, hat er keinen Anlass kritische Fragen oder eigene Berechnungen anzustellen. Deshalb schlage ich vor, diese “Gläubigen” nicht direkt mit der Gegenposition zu konfrontieren, sondern ihr eigenes Rezept als “Lösungsgrundlage” zu nehmen und auf faire Weise Schritt für Schritt abzuklären, wohin das führen muss. Wenn ich schreibe “es sollte endlich jemand ausrechnen, wie viele Solarpanels (vorwiegend in den Alpen) für eine optimierte, weitgehend auf einer Kombination von Sonnen-, Wind- und Wasserkraft basierende Stromversorgung notwendig sind und welche Speicherseen/Pumpspeicherwerke wo errichtet/ausgebaut werden können/müssen, um die Zahl der Solarpanels und Windturbinen so klein wie möglich zu halten und trotzdem eine genügende Speicherung vom Tag in die Nacht und vom Sommer in den Winter sicher zu stellen” gehe ich selbstverständlich davon aus, dass die von Ihnen ewähnten Projekte wie Greina, Ebene von Gletsch (möglicherweise mit zusätzlichem Damm am untern Ende des Rhonegletschers), Urserental, Val Curciusa, etc. sowie viele andere mehr in die Ueberprüfung einbezogen werden müssten. In meinem Beitrag bin ich übrigens noch weiter gegangen und habe implicite eine “Lösung” mit der Ueberflutung der Orte Martina und Strada im Engadin (und entsprechender Neuanlage der Engadinerstrasse) in die Diskussion geworfen. Es geht ja nicht darum, nur das zu präsentieren, was mehrheitsfähig ist, sondern das “tout solaire” bis zum bittern Ende durchzurechnen, um zu erreichen, dass diese Lösung eben nicht mehr mehrheitsfähig ist. Und um jedem Bürger plastisch zu zeigen, wie das in der Landschaft aussähe, kommt man meines Erachtens um genaue Einträge der Stauseen, PV-Farmen, Erschliessungsstrassen, Uebertragungsleitungen, umzuleitende bisherige Verkehrswege, etc. auf der Landkarte (evtl. auch Fotomontagen) nicht herum. Dass eine derartige Herkulesaufgabe nicht innerhalb weniger Jahrzehnte bewältigt werden könnte, dürfte jedermann klar sein. Möglicherweise dürfte schon die Beratung aller hierfür notwendigen Gesetzesänderungen ein Jahrzehnt dauern. Reply
Es ist ja an sich verrückt, dass UVEK/BFE und Energiebranche zusammen solche Machbarkeitsprüfungen nicht schon lange vorgenommen haben und mit der jeweils besten verfügbaren Technik immer wieder durchführen (wenn wesentliche Faktoren oder Parameter geändert haben). Dieser Verrückten nehmen vielmehr einfach an, die wesentlichen Faktoren oder Parameter werden sich über die Zeit so ändern, dass ihre energiewirtschaftlichen Träume wahr werden könnten. Reply
Es erstaunt mich immer wieder, wie die meisten Schreiber (Frauen hat es da ja überhaupt keine) auf diesem Blog mit Verve gegen die Möglichkeiten der Solarenergie anschreiben – und ihr dabei auch jegliches Entwicklungspotential absprechen. Ein Potential, welches diese in den vergangenen Jahren jedoch erwiesenermassen (siehe Kostenreduktionen und Ausbaugeschwindigkeit) bewiesen hat. Im Gegensatz zur Atomtechnologie, bei der wir heute zwar viel höhere Kosten konstatieren, aber kaum einen Ausbau (Abnahme des Anteils der Atomtechnologie an der Weltstromproduktion von 17 auf 10%) – und nur ein paar wackere Mannen beim C-C-Blog wundern sich, warum ihre Argumente nicht gehört werden – tja warum wohl? Reply
Betrachte ich als Satire. Vielen Dank für den erheiternden Beitrag. Am Sonntag passen ja so feuilletonmässige Beiträge gut. Oder religiöse. Am Sonntag huldigen viele dem Glauben. Reply
@Saurer&Vogel: Wie Ihnen als Oberböögen des Blogs nicht entgangen sein dürfte, haben fasnächtliche Sprüche häufig einen erheblichen Kern an Wahrheit. So auch hier – wobei der unaufhörliche technische Fortschritt und die Kostenminderung auf ein Zehntel gegenüber von vor 20 Jahren noch dadurch unterstrichen wird, dass weltweit jährliche Investitionen in die Erneuerbaren Energien längst und bei weitem jene in fossile oder atomare Kapazitäten übertreffen. Reply
Herr Resche, Sie ignorieren -gleich wie die grünen Polit-Trompeten -wie immer, dass der Ausbau von Solar und Wind alleine nichts zur Versorgungssicherheit beiträgt. Der momentane Rückgang des Anteils der Stromerzeugung aus Kernenergie ist nicht, wie Sie suggerieren, auf die Stromproduktion der EE zurückzuführen, sondern hauptsächlich der gewaltigen Steigerung des Fossilstroms v. a. in Indien und China zu “verdanken” (siehe u. a. Wikipedia-Diagramm). Reply
Und in seiner Antwort von soeben (21:46) ignoriert Rehsche wie immer die systemischen Zusatzkosten höherer Anteile an Flatterstrom (Netzausbauten, Regel-Fazilitäten, Back-up, Speicher et al.). Es kann am deutschen Bsp. leicht nachvollzogen werden – und wurde von H.-W. Sinn, von der Monopolkommission, vom Bundesrechnunghof und anderen auch schon vorgerechnet – , dass die Systemzusatzkosten zunehmender Flatterstromanteile stärker steigen als die Flatterstromkomponenten billiger werden. Hinzu kommt, dass der Preiszerfall der NEE-Komponenten aus verschiedenen Gründen gestoppt und sogar ins Gegenteil gekehrt wurde. Ein bedenklicher Grund ist, dass besonders die Energiepreise der Fossilen (!) markant angestiegen sind. Da sieht man nun was passiert, wenn man angeblich ökologische Anlagen mit einem sehr geringen EROI mit viel fossiler Energie produziert…. Reply
@Saurer: Wenn Sie sich denn auf dem Laufenden hielten, so wüssten Sie, dass die Preise der Fossilen bereits wieder sehr deutlich gesunken sind – teils unter Niveau vor Energiekrise! Aber mit den Fakts haben Sie es ja nicht so – zumal Sie etwa auch nicht erklären können (wie der gute Herr Sinn auch nicht), warum denn die ganze Welt vor allem in Erneuerbare investiert – mit x-fachen Summen dessen, was für fossile oder auch nukleare Quellen aufgewendet wird. Reply
Lieber Herr Rehsche, mit dem ökonomischen Rüstzeug haben Sie sich offenber nie gross überlastet. Etwas mehr Ladung wär’ aber für Energie-WIRTSCHAFT – jawohl, Energie ist ein Bereich der Wirtschaft – nicht schlecht. Sie graben sich Gruben, wo immer dies möglich ist, und fallen notorisch selber rein. Also: Wenn der Preis der Fossilen wieder sehr deutlich gesunken ist, heisst das nichts anderes, als dass die volkswirtschaftlich relevanten Kosten der Erneuerbaren, deren Opportuniätskosten, ebenso deutlich gestiegen sind. Das erklärt auch die immer lauteren Subventions- und anderen Förderungsforderungen der Solarlobby. Wenn einmal die staatsmonopolistischen Netzgebühren nicht mehr erhöht werden können, weil sie sonst schlicht nicht mehr tragbar sind, wird dies zum sofortigen Tod des Solarausbaus führen. Die Deutschen versuchen schon heute mit allen erdenklichen fiskalischen Tricks, diesen Tod zu verhindern. Klar werden überall exorbitante Summen in Solar investiert, aus Steuermitteln oder indirekt konfiszierten Mitteln, weil eben diese Flatterenergie je KWh exorbitant teuer ist. Wenn wir die KWh aus dieser Quelle auch noch plan- oder steuerbar haben wollen – und das wollen wir, sonst ist sie über grosse Zeitintervalle nutzlos (ein Bad, staat ein Good) – , dann ist sie quasi exorbitant potenziert mit 2 oder 3 teurer. Wie sagt doch Werner Plüss immer: “Basteleien” für Wind- und Solarenergie. Genau, wenn man mit Basteleien grosse Mengen nützlicher Güter herstellen will, dann braucht es eben viele Basteleien – und das ist teuer.
Immer schön zuerst eins unter die Gürtellinie und dann schwach weiter argumentiert. Ich sorge mich angesichts meiner Ausbildung und meiner beruflichen Tätigkeit nicht um meinen ökonomischen Sachverstand! Bleibt die Frage: Warum macht es die ganze Welt trotzdem? Reply