Bravo pour cette contribution qui explique de manière simple et visuelle la tâche à accomplir pour abandonner les combustibles fossiles en Suisse! Et E. Macron l‘a bien compris, sans le nucléaire, ce sera vraiment compliqué et sans doute beaucoup plus cher. Mais l‘Allemagne pense qu‘avec l‘éolien offshore elle pourra aussi y arriver. L‘avenir dira qui a la meilleure stratégie. Reply
Super Beitrag. Aber etwas habe ich möglicherweise überlesen oder nicht mitgekriegt: wie ist die Speicherung von PV-Strom (vom Tag in die Nacht, resp. vom Sommer in den Winter) gedacht? Reply
Dans cette estimation, la technique utilisée pour le stockage n’est pas spécifiée, seul un coût d’investissement hypothétique est entré. On peut imaginer le pompage-turbinage déjà pratiqué en Suisse mais pas à disposition dans les pays plats. Il y a aussi les blocs de béton “tessinois” qui font l’ascenseur, ou les batteries dont les capacités restent pourtant modestes et les coûts très élevés. Le vrai problème n’est d’ailleurs pas le coût mais la dimension, dans tous les sens de ce terme. Dans le cas de cet article, ce sont 1,2 US$/We qui ont été utilisés, ce qui est une valeur basse pour du pompage-turbinage. Pour les compensations inter-saisons, il n’y a pas d’autres solution que des capacités d’appoint à mettre en service en cas de besoin après que les barrages seront presque vides. Ce sera du thermique brûlant du gaz, ou du bois que l’on aurait gardé en réserve… Reply
Da Kommentarfunktion angemeldet nicht funktioniert, braucht es immer zuerst einen “Test”. Das Zauberwort auf der Seite der Energiewender, das jetzt immer lauter hörbar wird, ist die “Verbrauchssteuerung”. Das ist die Abkehr von einem Markt mit Konsumentensouveränität, d.h. von der jederzeit verfügbaren Energie, zunehmend natürlich Strom. Es gibt dann den Grossen Bruder der Energiezuteilung, alles machbar mithilfe neuster Technologie wie AI und so. Dann lohnt sich eine autonome individuelle Energieversorgung (Holzofen für im Wald gesammeltes Holz, PV/Speicherung zur Eigenversorgung, für Notfall mit Biodiesel-Stromgenerator). Reply
Monsieur de Rougemont Merci pour votre prompte réponse. Elle confirme mes doutes quant à la faisabilité d’une solution à cent pour cent verte. Je me suis toutefois posé la question si la transformation de toutes les centrales hydro-électriques alpines en centrales de pompage-turbinage pourrait suffire pour garantir l’approvisonnment nocturne en courant (ex PV) pendant les deux trimestres d’été. On pourrait ensuite faire le même calcul pour l’hiver, en se basant sur d’immenses “colonies” de panneaux photo-voltaiques sur des versants ensolleilés au-dessus du brouillard. Si l’energie grise investie dans toutes ces constructions n’était pas plus grande que leur rendement, on pourrait ainsi démontrer visuellement ce que le “tout renouvelable” signifierait. Il se peut que certains adeptes inconditionnels du “tout renouvelable” commenceraient alors à se poser des questions. Je ne peux pas me prononcer sur la faisabilité à grande échelle de la solution “tessinoise”, n’ayant vu qu’un reportage TV démuni de toutes indications de coûts. Reply
Le pompage-turbinage installé en Suisse n’a pas la vocation d’écrêter les variations des productions intermittentes, ni de faire du stockage inter-saisons. Par exemple, la toute nouvelle installation de Nant de Dranse a une puissance de 900 MW et met 20 heures pour être chargée ou déchargée à cette puissance. Si c’est suffisant pour récolter du courant de bande la nuit et alimenter des pointes de demande au cours de la journée (concept de base, devenu maintenant obsolète), cela ne permet pas de pomper à 5-10x la vitesse lorsque le PV produit beaucoup en excès, pour turbiner selon une demande plus étalée. Il y a inadéquation des puissances, sans parler de la capacité de stockage relativement faible, quoique considérable en comparaison avec des batteries au lithium. Par ailleurs, il n’y a pas de sites supplémentaires à développer dans nos alpes pour de telles installations. Il n’y a pas non plus de modèle économique qui le justifierait. Transformer toutes les centrales hydro-électriques en pompage turbinage : cela n’est possible que si un lac de rétention est aussi disponible en aval, or en général c’est la rivière de décharge qui continue son cours. Ascenseur à blocs de béton “tessinois” : voir https://www.energyvault.com/ Reply
Der Beitrag zeigt vor allem sehr gut, dass mit PV viel mehr Kraftwerkskapazität notwendig ist als mit KKW. Und dazu noch viel mehr Speicherkapazität in Form vom lokalen Batterien oder Speicherkraftwerke. Der heutige KW-Park mit KKW und Wasserkraftwerken ist auch viel einfacher zu managen. Die grosse Mehrheit der Politiker und der Bevölkerung hat auch keine Ahnung über die Grössenordnungen, z.B. was eine TWh Energie bedeutet.. Eine Schätzung der Kosten über die notwendigen Investitionen ist aber mit vielen Unsicherheiten behaftet, da die Technologien sich ständig weiterentwickeln (PV. , Batterien, Elektrolyseure, usw.). Unbestritten ist hingegen, dass eine Stromversorgung ohne KKW wesentlich komplexer sein wird. Eine direkte oder indirekte Verbrauchsteuerung wird aber bei der erwarteten massiven Zunahme der E-Autos auch mit KKW ohnehin zwingend sein, da die Stromnetze sonst lokal überlastet sein werden und die Leistungsspitzen durch den KW-Park nicht bereitgestellt werden können. Reply